118

Titre de Périodique

Notes

La première lettre (p. 1-17, datée du 3 janvier 1768) est un extrait assassin du Bélisaire de Marmontel, qui inspirera à Restif les lignes suivantes : « Nous avons connu Fréron. Nous avons vu comment se marchandaient les extraits ; un louis, deux louis, trois louis, dix louis : le bien qu’on disait des ouvrages était en conséquence. Nous avons su comment on soldait, au Parvis, le mal dit de Voltaire et des Philosophes. Nous savons savons combien a été payé l’extrait du Belizaire. Nous savons, nous avons vu. Cela est clair. Nous savons comment s’arrangeaient certains extraits, dans le délire d’une ivresse complète. Ils étaient ensuite revus par le Maître, à jeun. » (Les Nuits de Paris, 1789, nuit CLXV, t. VII, partie 13, p. 3116-3117)

Cérémonie de la proclamation des échevins à Lyon, le jour de la St Thomas, p. 289

Année

1768

Tome

I