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Notes

Robe soupir étouffé

  • Nouveau Mercure de France n° 12 [juin 1776], p. 72-74 : « Extrait d’une lettre, prétendue écrite de Paris, et insérée dans les Affiches de Normandie »
  • L’Esprit des journaux, août 1776, p. 230-233 : « Extrait d’une lettre prétendue écrite de Paris, insérée dans les Affiches du Mans, n°26 » : « Cette plaisanterie vient d’être imprimée dans plusieurs feuilles hebdomadaires et même dans les journaux : elle peint peut-être moins le ridicule de nos modes, que l’imagination brilante des personnes qui leur donnent de si jolis noms »

Voir aussi :

  • Journal de politique et de littérature, 5 juillet 1776, p. 303-305 : « Affiches du Mans n° 26 »
  • Courrier du Bas-Rhin, 17 juillet 1776 : « Extrait d’une lettre de Paris »
  • Journal politique ou gazette des gazettes (seconde quinzaine de juillet 1776, p. 53-55) : article qui « peint bien la frivolité ruineuse de la nation » et  provient des « Annonces de Normandie n° 89 »
  • Journal encyclopédique, août 1776, p. 527-527 : « Extrait d’une lettre prétendue écrite de Paris, et insérée dans les Affiches de Normandie, n°89 »
  • Journal historique et littéraire, août 1776, p. 559-560

 
Repris en 1779 dans le Dictionnaire historique de la ville de Paris de Hurtaut et Magny, puis dans de nombreuses publications du XIXe siècle (tel Le Moniteur de la mode du 30 juillet 1844), l’article est alors considéré comme un document authentique sur les modes au début du règne de Louis XVI.
Hugo le paraphrase dans Les Misérables (t. III, 2) en l’insérant dans le portrait de Gillenormand.
Le Magasin des demoiselles (1846, t. II) est le seul à attribuer la lettre au « jeune duc de Grammont »  (mais le duc de Grammont avait 54 ans en 1776).

Année

1776

Tome

V-VI (n°9-12)